Actualité - Monde d'aprèsChronique de la traversée du néant

NON ! Une éditrice et mère de famille s’oppose à la politique sanitaire du gouvernement

Pourquoi « NON » à la politique sanitaire qui nous est imposée ?

Dans cet article, Stéphanie Del Regno s’exprime en tant que citoyenne et mère. Elle répond à la question en quatorze points qui forment un réquisitoire implacable contre le système oppressif qui s’impose au pays autrefois symbole de la liberté.

Problème n° 1 : Obligation vaccinale déguisée

Depuis le début de l’idée d’un vaccin anti-covid, le gouvernement nous assure qu’il n’y aura pas d’obligation. Sauf que l’obligation est tout de même là. Pas de bras piqué : pas de travail. Les soignants suspendus, en France, se comptent par milliers. Alors applaudis il y a un an et encouragés à travailler en étant positifs au Covid-19, aujourd’hui, ce sont des pestiférés. La cause de leur suspension (je rappelle : perte de leur emploi, de leur salaire, et pas droit au chômage) : avoir refusé de se faire « vacciner ». Parmi les soignants, des médecins, des chirurgiens, des anesthésistes. Personne ne se demande pourquoi des professionnels de santé refusent de se soumettre au sacro-saint « vaccin » ? Moi, ça m’a mis la puce à l’oreille.

Sous-problème dans ce premier problème : nos anciens piqués d’office dans les EHPAD (lire les nombreux témoignages effarants des familles). Rappelez-vous qu’ils ont servi de cobayes en décembre dernier, lors du lancement de la super-vaccination. Comme ils n’en sont pas tous morts, notre gouvernement bienveillant a ouvert la vaccination aux adultes, puis aux adolescents et aujourd’hui aux enfants à partir de 5 ans. Toujours dans leur logique presque implacable : « Si vous voulez retrouver une vie normale, vaccinez-vous ! »

Pourquoi ne peuvent-ils pas imposer tout simplement ces « vaccins » comme ils l’ont fait avec les tout-petits (je rappelle 11 vaccins en 1, de la pure folie !), parce que ce ne sont tout simplement pas des vaccins mais des thérapies géniques toujours en phase d’expérimentation (phase III jusqu’en 2022 pour Moderna par exemple et 2023 pour Pfizer) et bénéficient d’une AMM conditionnelle seulement.

Problème n° 2 : Mensonges après mensonges

Depuis le début de cette crise « sanitaire » (soi-disant), le gouvernement ment. Il ment sur les chiffres, il ment sur l’efficacité du vaccin, il ment sur nos conditions de vie. Mensonges largement relayés par les médias mainstream (BFM, Cnews, TF1, LCI, etc.). Il suffit de comparer les chiffres donnés par la télé à ceux de la DREES par exemple, pour comprendre qu’il y a un bug de données.

Aussi, où sont passés les non-injectés en bonne santé aux infos ? On nous montre toujours le même qui « regrette » de ne pas s’être fait piquer car il est à l’hôpital.

Et puis ces publicités qu’on nous assène aux bonnes heures de la journée. D’ailleurs il a une plainte en cours (entre autres) pour publicité mensongère et harceleuse. « Si tu ne veux pas que papy et mamie meurent à cause de toi, tu dois porter un masque, ne pas t’approcher d’eux et maintenant te faire vacciner. Si tu veux retrouver une vie normale, tu dois te faire vacciner. » Et surtout : « Tous vaccinés, tous protégés. » Elle est énorme celle-là.

Problème n° 3 : Unique solution : le vaccin

Depuis le début, on nous vend le vaccin comme seule et unique solution à l’éradication du virus Sars-CoV-2. Or, il existe des traitements efficaces et qu’on connaît, que le gouvernement a tout simplement interdit pour engraisser les laboratoires déjà poursuivis d’ailleurs depuis de nombreuses années pour corruption (eh oui, les traitements qu’on connaît ne sont pas assez chers). Pour rappel, le lynchage du professeur Raoult et de son hydroxychloroquine. On sait que l’Ivermectine obtient de très bons résultats, ainsi que le zinc, la vitamine D, le glutathion, l’artemisia, et on oublie surtout que nous sommes dotés d’un truc fabuleux : le système immunitaire.

Problème n° 4 : Abandon de l’hôpital public

On nous confine, puis nous déconfine, puis reconfine, puis couvre-feu + recouvre-feu pour « ne pas saturer les hôpitaux ». Soit. Mais alors que notre cher président nous annonce en pleine première vague qu’il va rouvrir des lits, il continue à en supprimer ! Il ne nous prendrait pas pour des idiots notre monarque ? Et depuis ce 15 septembre, il a fait mettre à la porte des milliers de soignants pour désobéissance à Sa Majesté, alors que les hôpitaux sont en manque d’effectifs depuis de nombreuses années.

Problème n° 5 : Harcèlement, chantage et menaces exercés sur les citoyens – Musellement, blâme, radiation voire lynchage des scientifiques en désaccord avec la stratégie gouvernementale.

C’est du jamais vu sous notre République. Une honte.

Problème n° 6 : Vax vs antivax

Diviser pour mieux régner. De notre époque, jamais cette assertion n’aura autant pris sens.

Or, les qualifiés « d’antivax » ne sont pas antivaccins. Ils se renseignent sur ces vaccins à ARN messager dont jusque-là personne n’avait entendu parler. Et en cherchant, ils se rendent compte que la balance bénéfice/risque n’est pas du tout celle annoncée par le gouvernement ! Les médias l’ignorant, ils ont lamentablement contribué à la formation de deux camps : celui des « vaccinés » contre celui des « non-vaccinés ». Ce qui a créé des ruptures au sein des familles, au sein des couples, au sein des cercles amicaux et professionnels. Une honte. Chacun doit respecter les décisions de l’autre, même s’il ne l’approuve pas. Les non-injectés sont devenus les boucs émissaires du XXIe siècle. Ceux qui acceptent de se faire piquer ne le font par amour de leur prochain. C’est soit par peur d’attraper le Covid et de développer une forme grave, soit pour conserver « leurs avantages » qui, somme toute, ne sont juste que la normalité, mais devenue exceptionnelle. C’est une démarche entièrement personnelle et non altruiste.

Problème n° 7 : Dangers du « sérum » salvateur

Alors là, c’est un carnage. Après avoir balancé AstraZeneca, Janssen et Moderna aux pays pauvres, Pfizer règne en maître chez nous. On nous assure que le « vaccin » est sûr et efficace. Vraiment ? Plus de 2 millions d’effets secondaires (dont graves) ont été recensés en Europe et les décès suite à l’injection sont pour l’instant classés sans suite. Avec ce « vaccin », on assiste à une recrudescence de :

  • myocardites,
  • thromboses,
  • péricardites,
  • AVC,
  • arrêts cardiaques,
  • paralysies,
  • PIMS,
  • grandes fatigues,
  • pertes de la vue d’un œil,
  • pancréatites,
  • zonas,
  • cycles menstruels troublés,
  • morts subites de personnes jeunes et en bonne santé
  • et le retour de Creutzfeldt-Jakob ! (S.2, E.24, X-Files)

Les victimes passent toutes par la case examens médicaux, et dans la majeure partie des cas, on ne trouve rien. Bizarre. Sauf que non, outre cette fameuse protéine Spike qui se loge n’importe où dans les organes et qui atténue l’immunité innée et adaptative, il y a les nanoparticules (voir le site de l’ANSM) et ce fameux oxyde de graphène, indétectable puisque non biologique. Et c’est quoi cet oxyde de graphène ? Des mini-lames de rasoirs qui se baladent dans nos vaisseaux sanguins et qui les taillent de l’intérieur. Ce graphène, c’est lui aussi qui se trouve dans les masques que nous impose le gouvernement. Eh oui, il faut bien écouler les stocks, et de masques et de « vaccins ».

Et maintenant, personne ne se demande pourquoi on revient au Moderna ? Pourquoi Pfizer n’est-il quasiment plus disponible ?

Quand le docteur Robert Malone, celui qui a fortement développé la technologie ARN messager dans les années quatre-vingt (technologie connue depuis 1961), alerte sur les dangers du vaccin à ARN messager dans le contexte du covid-19 et en particulier sur les enfants, il y a de quoi continuer à se poser des questions.

En bonne ignorante que je suis, j’ai demandé ce qu’était l’ARN messager. On m’explique vaguement que c’est une technologie sur laquelle les scientifiques travaillent pour élaborer un vaccin contre les cancers. Cancers ? Quelle est la similitude entre un cancer et un virus ?

De plus, les chiffres officiels du ministère de la Santé sont les suivants : 2 personnes sur 3 qui décèdent du Covid sont « vaccinées » et on a 2 chances sur 3 d’être contaminé par une personne « vaccinée » (Professeur Éric Chabrière).

Et puis, les 4 « vaccins » qu’on nous a sortis du chapeau sont élaborés à partir de la souche du virus échappé de Wuhan. Comment peuvent-ils être efficaces contre les variants qui se sont créés depuis ? Et voilà qu’un nouveau vaccin vient d’être validé par l’Europe : le Nuvaxovid de Novavax, il serait plus traditionnel que les autres, mais il y a toujours cette Spike. Et bien sûr, inefficace, comme tous les autres contre Omicron (en revanche, supplémentation en vitamine D pour le coup efficace contre le Covid !).

Et sans savoir non plus les effets de ces poisons à long terme : SEP ? cancers ? Nouvelles maladies ?

Problème n° 8 : Chiffres covid surestimés/chiffres effets secondaires vaccins sous-estimés

Ah oui : les chiffres. Le gouvernement et les médias ont un jeu favori : annoncer des centaines voire des milliers de contaminés et d’hospitalisés par jour. Eh oui, plus c’est gros, plus ça passe. Quand on sait que des médecins touchaient (et touchent encore peut-être ?) un pot-de-vin pour cocher la case « Covid-19 », on ne s’en est pas privé !

Par contre, l’inverse ne marche pas, c’est-à-dire pour les affections graves suites à l’injection et les décès. Là, par contre, on leur demande de se taire. On estime que moins de 10 % des effets secondaires graves et décès liés au « vaccin » sont signalés. Ce n’est pas du jeu !

Ce n’est pas moi qui spécule, il suffit de s’informer et de poser des questions aux personnes sur le terrain.

Problème n° 9 : Fiabilité des tests

La aussi. On nous dit que les tests les plus fiables sont les PCR. Sauf que le mec qui produit aux États-Unis ce PCR a averti que les tests étaient incapables de faire la différence entre Covid-19 et grippe puisqu’ils ont été conçus à la base pour répliquer l’ADN et non pour détecter des virus. Dans une tribune sur le site France Soir intitulée « La grande supercherie des tests PCR, le docteur Peter El Baze explique que 90 % des cas positifs ne sont pas malades ni contagieux », il écrit : « Le test ne détecte pas des virus entiers en état de marche, mais des morceaux de ce virus actifs ou non. Donc il peut détecter des petits morceaux de virus d’une infection qui date de plusieurs semaines, voire plus ». Or, on sait que si on contracte le covid, on n’est plus contagieux au bout de 5 jours. Comment sortir de cette folie en continuant ce bazar ?

Problème n° 10 : Hystérie collective face à la létalité du Covid-19

Là, revenons à la genèse. Début 2020, un vent de panique souffle sur le monde : un nouveau virus s’est échappé d’un laboratoire en Chine, à cause d’un pangolin (laisse-moi rire), il se propage à une vitesse folle et on va tous mourir ! Effectivement, nous allons tous mourir, mais peu de chances de trépasser à cause de ce virus qui fait partie de la famille de la grippe et du rhume, maladies auxquelles nous survivons quasiment tous chaque année.

Alors on nous parle de pandémie. D’accord, pas de souci. Mais ils sont où les morts ? Ben, chez les personnes âgées en fin de vie : moyenne d’âge de décès liés au Covid : 83 ans. Le virus a raccourci leur espérance de vie de quelques jours ou quelques semaines. Il y a aussi des morts chez les personnes qui présentent comorbidités (donc pas forcément âgées). Plus tu as un terrain fragile, plus tu risques des complications voire la mort si tu contractes le virus. Mais n’est-ce déjà pas pareil avec les autres maladies… ? Richard Horton, le rédacteur en chef du Lancet a dit quelque chose de juste : pour lui, le terme approprié n’est pas « pandémie », mais « syndémie » : entrelacement de maladies et de facteurs biologiques et environnementaux qui, par leur synergie, aggravent les conséquences de ces maladies dans une population.

Le taux de létalité du Covid-19 étant inférieur à 0,5 %, qu’est-ce qui justifie ce branle-bas de combat ?

Elle est où la caméra cachée ?

Problème n° 11 : Un président au-dessus des lois, qui fait mumuse avec son peuple : les droits fondamentaux des hommes sont bafoués.

Nous l’avons vu ces dernières semaines, notre président se fiche des lois et fait ce qu’il veut, soutenu par ses favorites. Les restrictions qu’il nous impose à tous, la pression qu’il nous met à tous, sont anticonstitutionnels, mais qu’importe, il fait ce qu’il veut ! Alors on vire comme des chiens des soignants, des pompiers qui ne se portent pas volontaires pour la piqûre ? On interdit aux citoyens d’aller au cinéma, au sport, au restaurant, au musée, même dans les marchés de Noël si non munis d’un QR Code ? On culpabilise et on sanctionne les gens en bonne santé qui ne se soumettent à l’injection magique ! Désolée, mais cette crise n’a rien de sanitaire. C’est du marketing et du business uniquement.

Par 3 ou 4 fois, la CNIL a demandé au gouvernement des preuves de l’efficacité du « Pass sanitaire ». Silence radio.

Problème n° 12 : L’absurdité du pass sanitaire

Qu’on respecte les gestes barrière en temps de contagion, d’accord. C’est ce qu’on faisait déjà pendant les épidémies de grippes, de rhumes, d’angine, de rhyno-pharyngites et de gastro-entérites. Mais qu’on aille jusqu’à obliger à porter un masque en permanence (qui, soit dit en passant, est plus dangereux que le virus en lui-même puisqu’on respire notre propre CO2 et, n’oublions pas, le graphène), qu’on nous badigeonne de gel hydroalcoolique (les dermatos se sont vus surchargés de patients allergiques) et qu’on nous interdise de nous approcher de moins d’un mètre les uns des autres, qu’on nous interdise de s’embrasser, de se serrer la main, et puis quoi encore ? Nous sommes assez grands pour ne pas embrasser notre voisin quand on est malade, mais quand on ne l’est pas ? L’homme est un être social qui a besoin du contact des autres pour survivre. Bonjour les dégâts psychologiques aujourd’hui.

Alors ce pass sanitaire, quelle bonne mesure ! On peut dire qu’il est sacrément efficace ! Tous les clusters signalés sont en milieux où le pass est exigé. Ben oui, les personnes « vaccinées » n’ont pas à se tester alors qu’elles sont tout aussi contaminantes que les non-injectés. Merveilleux ! Et puis il faut dire aussi que le Covid choisit où il ne frappe pas : au travail, dans les transports en commun et dans les grandes surfaces (là où il n’y a pas « besoin » de pass sanitaire mais où il y a encore plus de gens réunis qu’ailleurs). Il est malin celui-ci. En résumé, on ne peut pas aller à son cours de danse où on est 10 pelés, mais on peut aller à Auchan où on est des centaines. Il n’y a pas un truc qui cloche ?

Problème n° 13 : Les injectés sont piégés

Le gouvernement nous a fait croire que seule la vaccination pourrait nous faire revenir à une vie « normale ». En bons citoyens, nous avons couru dans les vaccinodromes. Nous pensions que nous serions dans un schéma vaccinal classique, c’est-à-dire une dose + un rappel. Eh bien non ! Trois doses en 1 an, plus la 4e qui se profile dans 4 mois (voire 3 mois), puis une cinquième, jusqu’à la 10e puisque le gouvernement en a commandé assez pour que chacun d’entre nous puisse en recevoir 10. Eh puis n’est-ce pas notre premier ministre qui disait le mois dernier que le maintient du pass ne serait pas conditionné par la 3e dose ? T’as raison Pinocchio. Et hop, pas de 3e dose (booster) : plus de pass sanitaire ! Piégés. Si on veut continuer à aller au restau, il faut y repasser, jusqu’à l’overdose.

Problème n° 14 : La stratégie vaccinale des gouvernements occidentaux ne marche pas

« La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent ».

Albert Einstein.

C’est bien de cela qu’il s’agit : c’est de la folie de répéter le même schéma encore et encore. On s’enfonce davantage. Nous sommes dans la 5e vague malgré 72,2 % de la population française entièrement « vaccinée ». Pour ma part, je n’ai pas vu passer la 4e, et les « spécialistes prophètes de la télé » prédisent une 6e. On va finir par s’acheter un surf.

Et maintenant, le Muppet Show prévoit de transformer le pass sanitaire en pass vaccinal d’ici quelques jours et, surprise pour les injectés, ils devront se soumettre en plus à un test PCR pour sortir dans certains endroits ! C’est du DÉLIRE !

Le climat anxiogène dans lequel nous vivons depuis bientôt deux ans m’insupporte.

Les médias complices du gouvernement commencent à changer leur fusil d’épaule. Je suis de très près ce qui nous touche depuis le début. J’écoute et je lis les épidémiologistes, les infectiologues, les biologistes, les généticiens, les virologues, les professeurs de médecine, les médecins traitants, bref, tous les censurés parce que lanceurs d’alerte : professeur Luc Montagnier, docteur Christian Vélot, professeur Christian Perronne, docteur Louis Fouché, docteur Martin Zizi, professeur Didier Raoult, docteur Alexandra Henrion-Caude, docteur Leila Gofti, docteur Jean-Marc Sabatier, professeur Jean-François Toussaint, docteur Martin Blachier, docteur Jean-Michel Claverie, professeur Éric Chabrière, et bien d’autres. J’ai pris une claque en regardant « Hold-up », puis « Hold on » et le Doctothon, qui a déjà généré 12 millions de vues depuis le 10 décembre. Alors, vu que cette crise n’a rien de sanitaire, qu’est-ce qu’on veut à tout prix cacher ?

A propos de Stéphanie Del Regno        

Après un parcours dans l’informatique pour de grands comptes, Stéphanie Del Regno revient à ses premières amours : le livre. Elle fonde les éditions La Vallée Heureuse en 2012 et les éditions Sibylline en 2018 dans l’objectif de partager les savoirs. Également auteure, elle participe à cette transmission.

 

Previous post

La tombe de Saint-Yves d'Alveydre…

Next post

Députés de qui ? De quoi ? Pour qui ? Pour quoi ?

The Author

Stéphanie Del Regno

Stéphanie Del Regno

2 Comments

  1. Luc
    5 janvier 2022 at 23:10 — Répondre

    Merci pour ce texte qui éclaire les réflexions, surtout en cette période où l’abjection s’expose au grand jour.

  2. Claudie Rogues
    5 janvier 2022 at 23:13 — Répondre

    Merci Madame, en tant que mère de famille vous m’avez confirmé ce que je pense.
    Claudie

Leave a reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.